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THÈMES DE RECHERCHE

Apnée du sommeil et régulation de la respiration au cours de la vie

Membres réguliers : Aida Bairam, Andréanne Côté, Annie Lajoie, Richard Kinkead, Vincent Joseph, Frédéric Sériès, Jorge Soliz

Membres associés : Jean-Chistian Borel (Grenoble), Jean-Louis Pépin (Genoble), Paul Poirier, Jean-Pierre Després, François Maltais

Membres collaborateurs (médecins-cliniciens) : Francis Laberge, Noël Lampron, Pierre-Alexis Lépine, Jean-François Masse, Caroline Minville, Victor Tremblay, Jean-Philippe Vézina

 

Cette thématique bénéficie du leadership de Frédéric Sériès dont les activités de recherche traditionnelle sont centrées sur l’étude de la physiopathologie des muscles des voies aériennes supérieures. L’objectif à long terme de ces travaux est de développer de nouveaux traitement pour le syndrome des apnées du sommeil. D’importantes collaborations ont été amorcées avec les membres des axes de cardiologie et d’obésité/métabolisme. Nous visons notamment à développer un algorithme d’investigation et de prise ne charge simplifiée des individus avec apnée du sommeil qui sont en préparation d’une chirurgie bariatrique. Nos chercheurs participent à un consortium canadien qui s’intéresse aux anomalies respiratoires du sommeil dans l’insuffisance cardiaque. Le recrutement en 2016 de trois chercheurs qui s’intéressent à la régulation de la respiration au cours de la vie apporte une dimension de recherche fondamental dans ce secteur d’activité et offre des opportunités de recherche translationnelle en collaboration avec les cliniciens. L’équipe vise notamment à développer de nouveaux traitements hormonaux des anomalies respiratoires du sommeil. La problématique des troubles respiratoires du sommeil permet de rassembler les expertises retrouvées dans les deux autres axes du Centre de recherche de IUCPQ (cardiologie et obésité/métabolisme). La recherche dans ce secteur est avant tout basée sur l’expérimentation humaine et le laboratoire de physiologie des voies aériennes supérieures est à la fine pointe de la technologie.

Asthme: pathophysiologie et interventions

Membres réguliers : Élyse Bissonnette, Andréanne CôtéLouis-Philippe Boulet, Yohan Bossé, Ynuk Bossé, Jamila Chakir, Jean-François Lauzon-Joset, Nicolas Flamand

Membres associés : P. Chanez (Marseille), Jean-François Couture (Ottawa), Catherine Laprise (Chicoutimi), Kelly McNagny (Vancouver), Robert  Murphy (U of Colorado), Peter Paré (Vancouver), Dirkje Postma (Pays Bas), Roma Sehmi (McMaster), Don Sin (Vancouver), Abdelilah Soussi-Gouni (Manitoba), Dieter Steinhilber (Frankfurt)

Membres collaborateurs (médecins-cliniciens) : Lara Bilodeau, Aida Eslami, Michel S. Bussières, Krystelle Godbout, Pierre-Alexis Lépine, Caroline Minville, Marilou Piché

 

Nous travaillons sur divers projets portant sur les mécanismes de développement de cette maladie, sur les nouveaux médicaments et sur l’évaluation des interventions éducatives. La technique d’expectorations induites fait actuellement l’objet d’évaluation en tant que marqueur non-invasif de l’inflammation bronchique. Des travaux avant-gardistes visent, grâce à un modèle murin unique de souris transgénique, à mettre en lumière le rôle de la dysrégulation du CD200 dans l’asthme. Notre équipe est à l’avant plan de l’étude des mécanismes d’action de la thermobronchoplastie, une thérapie innovante de l’asthme chonique. Ces travaux reposent sur notre capacité à obtenir du matériel humain pour la recherche fondamentale.

Nos chercheurs ont développé des expertises uniques dans l’isolation et culture primaire de cellules pulmonaires à partir de biopsies bronchiques et ils ont développé des modèles tridimensionnels pour étudier les mécanismes du remodelage bronchique chez les asthmatiques.  De plus, grâce à l’implication de nos cliniciens, nous avons une collection importante et de haute qualité de biopsies bronchiques obtenus de patients asthmatiques (légers, modérés et sévères) qui permettent de valider nos découvertes dans les cellules humaines et dans les modèles murins.

 

Nos chercheurs s’intéressent également aux médiateurs lipidiques dans la régulation de la réaction inflammatoire dans l’asthme. L’étude des gènes de susceptibilité de l’asthme repose sur une cohorte cas-témoin de 1000 individus caractérisés pour l’asthme et l’atopie et dont l’ADN est préservé à la biobanque de l’IUCPQ. Nos chercheurs sont des experts reconnus des modèles murins d’asthme qui permettent d’étudier les aspects pharmacologiques et de biologie cellulaire de cette maladie. Nous possédons également une expertise de la physiologie du muscle péribronchique qui amène un éclairage nouveaux sur les mécanismes pathophysiologiques de l’asthme.  

Hypertension pulmonaire

Membres réguliers : Sébastien Bonnet, Olivier Boucherat, François Potus, Steeve Provencher

Membres collaborateurs (chercheurs) : Harm Bogaard (Pays-Bas), Pierre Bonnet (France), Pasquale Ferraro (Montréal), Marc Humbert (France), John David Langleben (Montréal), Éric Larose, Yves Lacasse, Sanjay Mehta (London, Ontario), Frédéric Perros (France), Josep Rodes, Philippe Pibarot, Evangelos Mickelakis (Edmonton), Mark Toshner (Royaume-Uni), Jason Weatherald (Edmonton).

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Membres collaborateurs (médecins-cliniciens) : Geneviève Dion, Victor Tremblay

 

Les travaux collaboratifs entre les chercheurs cliniciens et fondamentalistes font de cette équipe un exemple éloquent de recherche translationnelle et l’une des plus performantes au monde dans ce domaine. Le recrutement de deux chercheurs accroit notre capacité à mieux comprendre les mécanismes de développement de l’hypertension pulmonaire, en considérant notamment la composante systémique de cette pathologie. Nos chercheurs en HTP publient des travaux majeurs sur les mécanismes moléculaires de l’hypertension artérielle pulmonaire et ces découvertes sont mises à profit dans la mise en place de deux essais cliniques qui évalueront des traitements novateurs de cette maladie encore incurable. La recherche en hypertension pulmonaire bénéficie également d’une expertise en épidémiologie clinique qui mène à d’influentes méta-analyses dans ce domaine. Cette thématique de recherche bénéficie d’une importante clinique de maladies vasculaires qui permet le recrutement de sujets de recherche. La présence dans notre centre de recherche de spécialistes en échocardiographie et en résonnance magnétique permettra d’étudier de nouvelles modalités diagnostiques et d’évaluation thérapeutique. La recherche en HTP permet également de fructueuses collaborations interaxes au centre de recherche de l’IUCPQ.

Maladie pulmonaire obstructive chronique et santé environnementale

Membres réguliers : Yohan Bossé, Steve Charrette, Caroline Duchaine, Yves Lacasse, François Lellouche, François Maltais, Mathieu Morissette, Didier Saey

Membres associés : Natalie Almeras, Jean Bourbeau (McGill), Jean-Pierre Desprès, Paul Poirier, Janet Blatny (Norvège), Nicolas Derome, Jim Dosman (Saskatchewan), Sébastien Faucher (McGill)

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Membres collaborateurs (médecins-cliniciens) : Philippe Gervais, Krystelle Godbout, Noël Lampron, Pierre Leblanc, Marie-Hélène Lévesque, Julie Milot, France-Émilie Roy, Marie-Louise Vachon

 

Nos chercheurs en MPOC s’intéressent aux nouvelles modalités d’entraînement à l’effort et au développement de modèles alternatifs de réadaptation respiratoire. Nous nous intéressons à l’évaluation fonctionnelle des personnes atteintes de la MPOC et à l’impact fonctionnel de la dysfonction des muscles locomoteurs. Nous développons également de nouveaux outils évaluatifs à l’effort qui sont maintenant utilisés dans des essais cliniques multicentriques visant à documenter l’efficacité des bronchodilatateurs. Un important essai clinique international qui porte sur l’évaluation de l’oxygénothérapie nocturne dans la MPOC a été récemment publié et des sous-études sont en cours. Nous étudions les effets de l’oxygène administré de façon autorégulée grâce au système FreeO2 qui fut développé par des médecins-chercheurs à l’IUCPQ.

Nos chercheurs sont impliqués dans les grands consortiums internationaux qui visent à mieux comprendre les aspects génétiques de la MPOC. Ils ont d’ailleurs découvert récemment une nouvelle forme d’emphysème héréditaire grâce à l’étude détaillée d’une famille québécoise suivie pendant cinq générations dans notre institut. Cette découverte est un exemple remarquable de recherche translationnelle.

 

Nous disposons également de modèles précliniques nous permettant d’investiguer les mécanismes physiologiques et pathologiques des maladies pulmonaires liées à l’exposition à la fumée de cigarette et aux émissions de cigarette électronique (vapotage). Ces modèles nous permettent également d’investiguer les effets extrapulmonaires de ces expositions ainsi que les interactions avec d’autres conditions chroniques comme l’obésité. Ils sont également très utiles lors des phases préliminaires de développement thérapeutique.

 

Les travaux de la Chaire du Canada sur les bioaérosols visent à mieux comprendre le rôle des particules d’origine biologique de l’air sur la santé humaine. Notre équipe vise à développer des méthodes permettant de mieux évaluer l’exposition tant en milieu de travail, domestique, hospitalier ou agricole. Nous étudions aussi la résistance des microorganismes à l’aérosolisation grâce à des équipements à la fine pointe et développons des méthodes de contrôle de l’exposition. Notre équipe de recherche en santé environnementale nous permet de mieux comprendre les interactions entre l’exposition environnementale, le microbiote respiratoire et la maladie pulmonaire obstructive chronique.

Oncologie pulmonaire

Membres réguliers : Marie-Renée Blanchet, Yohan Bossé, Patrice Desmeules, Philippe Joubert, Yves Lacasse, Didier Saey.

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Membres collaborateurs (médecins-cliniciens) : André Blais, Massimo Conti, Christian Couture, Marie-Hélène Denault, Vincent Gaudreau, Jocelyn Grégoire, Catherine Labbé, Anne-Sophie Laliberté, Simon Martel, Frédéric Nicodème, Bruno Raby, Sylvain Trahan, Lise Tremblay.

 

Nos efforts pour établir une base de recherche durable en oncologie thoracique ont porté fruit. La clinique d’oncologie thoracique qui reçoit chaque année plus de 800 nouveaux cas de cancer pulmonaire est parfaitement configurée pour la recherche clinique. Nous avons mis sur pied une biobanque où sont recueillies les tumeurs pulmonaires réséquées dans notre milieu ainsi que du parenchyme pulmonaire non néoplasique adjacent et les données cliniques pertinentes. Cette biobanque d’une envergure unique (plus de 4000 tumeurs) nous permet non seulement d’étudier le cancer pulmonaire mais aussi les effets du tabac sur le parenchyme pulmonaire et éventuellement d’autres maladies associées au tabac telle la MPOC. Ce matériel qui offre une occasion unique de développement en génétique et pathologie moléculaire du cancer du poumon est mis en valeur par notre équipe qui fait preuve d’un leader incontestable en génétique du cancer du poumon et dans le développement de marqueurs moléculaires de la maladie. Ces travaux de recherche s’inscrivent dans le développement de la médecine personnalisée en cancer du poumon, un secteur en plein essor qui nous permettra à terme d’offrir des thérapies plus efficaces et moins toxiques offrant pour la première fois des perspectives de longévité et de qualité de vie pour les patients. Nos chercheurs mettent au point des techniques minimalement invasive de résection pulmonaire, participent aux efforts internationaux de dépistage du cancer pulmonaire et de stadification de la maladie. Les oncologues de l’IUCPQ sont également membres du RÉSOT (Réseau en oncologie thoracique) et de Q-CROC (Consortium de recherche en oncologie clinique du Québec) et collaborent avec le CCTG (Canadian Cancer Trials Group) et l’industrie pharmaceutique pour inclure des patients sur des protocoles de recherche clinique avec de nouvelles molécules. Des études rétrospectives sont également faites régulièrement pour tenter d’améliorer la qualité des soins aux patients.

Soins critiques

Membres réguliers : François Lellouche, David Marsolais

Membres associés : Karen Burns, Laurent Brochard, Martin Lessard

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Membres collaborateurs (médecins-cliniciens) : Andréanne Côté, Étienne Couture, Vincent Gaudreau, Pierre-Alexis Lépine, François Maltais, Mathieu Simon, Victor Tremblay

 

Nous nous intéressons à la physiologie respiratoire aux soins intensifs, aux modalités de sevrage du respirateur, à l’automatisation de la ventilation mécanique et du sevrage de l’oxygène. Sous l’impulsion du Dr Lellouche, nous sommes très impliqués dans la recherche et développement. Conjointement avec une équipe d’ingénieur de l’Université Laval, celui-ci a inventé et développé un système automatisé d’adminstration d’oxygène appelé FreeO2 qui a été approuvé en 2018 pour la commercialisation par les autorités Européenne. Ce développement technologique révolutionnaire a donné lieu à la fondation d’Oxynov et offre un réel potentiel de retombés économiques. La recherche en soins critiques implique également une collaboration avec la Canadian Critical Care Group et le regroupement stratégique en soins critiques du Réseau en Santé Respiratoire.

Pneumologie interventionnelle

Membres réguliers : Marc Fortin, Simon Martel

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Membres collaborateurs (médecins-cliniciens) : Pierre-Alexis Lépine, Noël Lampron, Mathieu Simon et Pascalin Roy

 

Nous nous intéressons à plusieurs aspects de la pneumologie interventionnelle allant de l’échographie endobronchique (EBUS) à l’optimisation de l’utilisation des ressources dans l’investigation du cancer pulmonaire en passant par la physiopathologie et la prise en charge de la sténose sous-glottique bénigne idiopathique. Nous avons récemment publié le Modèle de Prédiction de Québec qui estime le risque individuel d’atteinte ganglionnaire occulte des patients en pré-opératoire de chirurgie oncologique pulmonaire ce qui permet d’optimiser l’utilisation de l’EBUS pré-opératoire en minimisant le nombre d’examens effectués tout en maximisant le nombre de patients chez qui une atteinte ganglionnaire occulte est détectée. Nous sommes également un des groupes les plus actifs au sein de la base de données canadienne en pneumologie interventionnelle (Stather Canadian Outcomes Registry) qui a récemment produit ses premières publications après plusieurs années d’effort de mise en place et de collecte de données. Nous pilotons finalement le premier essai clinique randomisé multicentrique d’envergure sur la prise en charge de la sténose sous-glottique bénigne idiopathique et travaillons à montrer une biobanque de tissus pour cette pathologie rare.

Pneumologie interventionnelle

Membres réguliers : Geneviève Dion, Didier Saey

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Membres collaborateurs (médecins-cliniciens) : Lara Bilodeau, Simon Martel, Julie Milot, Steeve Provencher

 

Nous nous intéressons à l’impact clinique de la mesure de la saturation en oxygène à domicile chez les patients atteints de maladies pulmonaires interstitielles (Étude SaturHOME). Ce projet, en collaboration avec les Drs Yves Lacasse et Steeve Provencher, nous permettra également de déterminer l’impact de la mesure de la saturation à domicile sur l’utilisation des soins de santé, le niveau d’essoufflement, d’anxiété/dépression et le niveau d’activité physique.

 

Nous orchestrons également le programme de téléréadaptation pulmonaire à l’IUCPQ en temps de COVID-19, en collaboration avec le Drs Didier Saey et François Maltais. Le but de cette étude est de vérifier la sécurité, la faisabilité et l'efficacité d'un programme de réadaptation pulmonaire à domicile chez les personnes atteintes de maladies respiratoires chroniques, via une plateforme de téléréadaptation élaborée à l’IUCPQ.

 

Aussi, grâce à la cohorte de patients avec fibrose pulmonaire idiopathique (FPI), l’ADN de ces participants sera étudié afin de vérifier la présence de variations génétiques pouvant être associées au développement de la maladie. Cette étude réalisée avec Dr Yohan Bossé nous permettra de construire une cohorte comprenant des prélèvements sanguins et des données cliniques provenant de patients atteints de FPI ou de membres de leur famille. Ultimement, un test génétique de dépistage des formes familiales de FPI pourrait être développé.

Plus de 200 participants au total seront recrutés à l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec – Université Laval (IUCPQ-UL). 

Fibrose kystique

Membres réguliers : Lara Bilodeau

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Membres collaborateurs (médecins-cliniciens) : Geneviève Dion, Pierre Leblanc, Julie Milot, Lise Tremblay

 

Nous nous intéressons aux nouveaux traitements qui se développent dans le domaine de la fibrose kystique et aux mécanismes physiopathologiques de cette maladie. Notre programme permet à plus de 200 patients de la clinique de fibrose kystique d’accéder à différents projets de recherche clinique subventionnés par l’industrie ou par d’autres organismes. Depuis octobre 2020, nous sommes membres du réseau canadien de la recherche en fibrose kystique (FK ÉCLAIR ou CFCanACT : Fibrose Kystique Canada : Études Cliniques Accélérées Inter-Régionales) Ce réseau regroupe les cliniques canadiennes de fibrose kystique les plus expérimentées en recherche, afin d’améliorer la communication et la collaboration entre les cliniques, les patients et les commanditaires. Nous travaillons aussi en collaboration avec des chercheurs fondamentaux sur des projets visant à mieux comprendre les mécanismes génétiques et inflammatoires impliqués dans la physiopathologie de la fibrose kystique.

L’autre volet de notre programme de recherche porte sur les bronchiectasies non reliées à la fibrose kystique. Nous participons à des essais cliniques qui évaluent de nouveaux traitements potentiels pour cette pathologie.

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